30 novembre : journée antinuk à l’Augustine !


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Le 30 novembre à l’Augustine on prévoit tout un programme sur l’antinuke :

  • 12h repas au restau-café du Bois le Jus
  • 14h Discussion avec le collectif Nunatak sur le thème des vélos électriques
  • 18h Gambaro, un film sur les réfugié.e.s à Fukushima
  • 19h Discussion sur le film et présentation sur la résilience faite par Thierry Ribault
  • 20h30 Repas au bar du Bois le Jus.
  • Attention, ça veut dire qu’on déplace l’heure à la quelle le film était prévu. Il devait être projeté à 21h mais sera en fait projeté à 18h.


Description de la journée

Nous devons vous annoncer que le 30 novembre nous élargissons le programme prévu. En plus de la projection du film Gambaro (dont vous trouverez toutes les informations à la suite) nous vous proposons de nous retrouver à 12h30 pour un repas préparé par le restaurant associatif du Bois-le-Jus, une discussion à 14h avec le collectif Nunatak sur le thème des vélos électriques, puis le film Gamabaro sera projetté à 18h (et non 21h !!) ensuite nous discuterons au sujet de Fukushima et enfin nous pourrons reprendre un repas au restaurant du Bois-le-jus.

Nous aurons le plaisir de recevoir Thierry Ribault et Anne, sa compagne qui viendront présenter le film « Gambarô » traitant du désastre nucléaire de Fukushima au travers de la parole de Japonaises et de Japonnais.

Le film dure 50min et sera projeté à 18h dans le salon de l’Augustine, 2 rue de Vinelle à Mandres-en-Barrois. Nous pourrons ensuite discuter de ce film.

Dans son analyse critique des politiques de résilience, de Fukushima à la France, avec son récent « comité interministériel à la résilience nationale », Thierry Ribault décrypte une idéologie de l’adaptation des populations et du consentement à la catastrophe et à ses suites. Comment les politiques publiques prétendant répondre aux désastres du techno-capitalisme s’inscrivent dans cette nouvelle religion d’État qu’est la résilience ?

Chercheur en sciences sociales au CNRS-Clersé-Université de Lille, Thierry Ribault a été détaché à la Maison franco-japonaise de Tôkyô de 1994 à 1998, puis de 2009 à 2014. Il est co-auteur avec Nadine Ribault de Les Sanctuaires de l’abîme – Chronique du désastre de Fukushima, aux Éditions de l’Encyclopédie des Nuisances (2012). Après dix ans d’enquête au Japon, il fait paraître Contre la résilience – À Fukushima et ailleurs, aux Éditions de L’Échappée (2021).

Au plaisir de vous y voir !

21/11/2023