Article original en anglais retrouvable ici. Cet article vient d’un outil de traduction automatique, des erreurs ont pu s’y glisser. Cet article se construit dans un dossier plus global de rassemblement d’argumentaires produits contre des projets d’enfouissement de déchets nucléaires de type CIGEO au Canada.

Projet d’enfouissement en Ontario : Quels sont les risques encourus ?

Les personnes situées le long des itinéraires de transport sont exposées à la fois à une exposition accidentelle aux rayons gamma et aux conséquences d’une rupture de conteneur à la suite d’une collision.

Les déchets de combustible radioactif seront reconditionnés sur le site, une procédure extrêmement risquée qui pourrait libérer des matières radioactives à la surface, où elles pourraient s’écouler dans les cours d’eau locaux.

Les déchets de combustible radioactif seront enfouis dans la roche mère (pour la première fois au monde) – en cas de défaillance du confinement, des matières radioactives pourraient être libérées dans les bassins hydrographiques du nord-ouest de l’Ontario, et finir par atteindre le lac Winnipeg et la baie d’Hudson.

« Tout va s’effondrer. Cela peut prendre un millier d’années, mais il y aura une défaillance. Quel que soit le type de conteneur, quelle que soit la solidité du conteneur que vous mettez dans le sol, tôt ou tard, il pourrira et se brisera – et ce qu’il contient se répandra. »

Emplacements à emporter

La SGDN (NWMO) n’est pas un organisme public – il s’agit d’un groupe de compagnies d’énergie nucléaire

Il n’existe pas de dépôt en couches géologiques profondes (DGR) opérationnel pour les déchets de combustible nucléaire dans le monde.

Les déchets hautement radioactifs seront transportés par camion ou par rail sur des milliers de kilomètres

Il n’y a pas de niveau sûr d’exposition aux rayonnements

Certains composants radioactifs des déchets nucléaires sont solubles dans l’eau