Article, mélange entre l’article sur dijoncter et de greenpeace. La carte intégrale se trouve à cette adresse:
https://www.greenpeace.fr/carte-dechets-nucleaires/
La carte des déchets nucléaires réalisée par Greenpeace France présente les principaux sites et points de transit des déchets radioactifs liés à l’industrie électronucléaire (soit 60% des déchets radioactifs en France), des installations industrielles et de recherche liées à cette industrie, trois sites militaires ainsi qu’une usine de traitement de terres rares.
Elle présente aussi des sites où sont entreposées ou par lesquels transitent des « matières radioactives » : des substances issues de la fabrication du combustible (tel que l’uranium appauvri), des combustibles usés (sortis des réacteurs) et des produits radioactifs générés par le retraitement (tel que le plutonium). Officiellement considérées « valorisables » par l’industrie, par opposition à des « déchets ultimes », ces matières ne représentent pas moins un danger.
Ne sont pas mentionnés sur cette carte : les déchets issus de la médecine, de la recherche fondamentale (hors secteur électronucléaire et/ou militaire) et d’autres activités civiles et militaires.
Cette carte des déchets nucléaires est basée en partie sur les données disponibles en open data dans l’Inventaire national des matières et déchets radioactifs 2019 de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Nous n’avons retenu qu’une partie seulement des sites mentionnés par l’Andra, afin de mettre en évidence ceux liés à l’industrie électronucléaire, une usine de traitement de terres rares ainsi que trois sites militaires emblématiques. Ces données ont été retravaillées et complétées par Greenpeace France, notamment afin de localiser plus précisément les sites que nous avons sélectionnés et de signaler la présence d’autres matières radioactives liées à l’industrie électronucléaire.
A ces informations, s’ajoutent celles collectées par les investigations de Greenpeace France sur les convois nucléaires par camion et train. Les chiffres sur le nombre de convois sont issus des données de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur le transport des substances radioactives en France. Les trajets de ces convois ferroviaires et routiers ont été identifiés par Greenpeace France. Les coordonnées GPS de ces points de passage sont basées sur l’observation de ces itinéraires et données à titre indicatif : elles ne pointent que quelques-uns des nombreux axes routiers, villes et gares par où ces convois transitent.
20/08/2019
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