23 octobre – 4 novembre (SDN) 13 jours d’actions pour alerter sur le risque nucléaire

Pour commander ou avoir les plans de la boite, il faut aller sur le site de sortir du nucléaire.

Où agir ?

• Devant les pharmacies, les mairies ou les préfectures, pour interpeller les usagers et les professionnels de santé sur les Plans particuliers d’intervention (PPI) et sonder leur degré d’information sur les distributions de pastilles d’iode et comment celles-ci fournissent une protection dérisoire en cas d’accident nucléaire.

• Devant une agence EDF ou une antenne locale de l’ASN, pour interpeller ces deux grosses institutions sur l’accroissement du risque d’accident qui découle mécaniquement de la prolongation d’usines ou de réacteurs vieillissants. Libre à vous de re-décorer ces bâtiments aux couleurs de la campagne et de faire sa fête au nucléaire !

• Au marché, en centre-ville, ou dans tout autre lieu passant, pour informer le plus de gens possible sur la centrale nucléaire du coin ou le projet de nouvelle installation.

Pour toute question ou afin d’avoir de l’aide pour organiser une action, vous pouvez écrire à :
mobilisations@sortirdunucleaire.fr

Pour aller plus loin…

Les nouvelles installations en projet ou en chantier
À bout de souffle et confrontée à de nombreux problèmes techniques et financiers (mur d’investissements, déchets ingérables, chantiers qui dérapent, perte de compétences) la filière nucléaire aimerait se refaire en lançant de nouveaux projets hors de prix et trop dangereux. La laverie de linge contaminé à Joinville, l’EPR de Flamanville en construction ou l’éventuel EPR NM – à Penly ou au Bugey – le projet Cigéo à Bure, le projet de piscine centralisée et le site de Belleville pressenti pour l’accueillir ou encore l’usine de Malvési et son incinérateur de boues radioactives : qu’ils soient déjà en chantier ou au stade de projet, mobilisons-nous pour stopper ces plans mortifères.

Les usines et les réacteurs vieillissants ou touchés par des malfaçons
> Pour savoir quelles centrales sont les plus vieilles, vous pouvez visualiser leur âge et leur emplacement sur la carte en cliquant ici.

> Actuellement, le réacteur n°1 de la centrale du Tricastin (Drôme) passe sa quatrième visite décennale, cet examen approfondi en vue d’être prolongé jusqu’à 50 voire 60 ans. Et dès le début de l’année prochaine, ce sera au tour du réacteur n°2 du Bugey (Ain). Vous pouvez consulter les problèmes de sûreté posés par la prolongation du réacteur n°1 du Tricastin en cliquant là.

> Récemment, la presse a par ailleurs révélé qu’une série de réacteurs étaient affectés par de graves malfaçons. Consultez la liste des réacteurs concernés en cliquant ici.

> Depuis septembre 2019, le périmètre de distribution des pastilles d’iode autour des centrales nucléaires a été élargi de 10 à 20 km. C’est plus de 2 millions de personnes qui sont désormais concernées par cette distribution.
Pour en savoir plus, c’est par ici.

04/11/2019