Bon printemps à toutes ! La dernière lettre d’info date de trop longtemps. Vous l’attendiez et « mieux vaut tard qu’encore plus tard » comme parfois on dit ici.
Sans plus attendre voilà la lettre d’infos à télécharger :
Bon printemps à toutes ! La dernière lettre d’info date de trop longtemps. Vous l’attendiez et « mieux vaut tard qu’encore plus tard » comme parfois on dit ici. Pour info, l’équipe qui gère la maison a subit une refonte de ses effectifs. Certaines copaines sont parties ou s’investissent dans d’autres collectifs et d’autres ont pris la relève, d’où le petit retard de cette lettre. Voici un petit récapitulatif des gros événements passés et de ceux à venir. N’oubliez pas que le site de bureburebure.info est aussi un bon moyen de suivre nos différentes actualités.
En ce moment, ces dernières sont marquées par le contexte un peu stressant des expropriations de Damoclés. La gare de Luméville, qui est menacée directement, mais également les différents lieux de la zone se préparent à résister du mieux à l’ANDRA. En parallèle la lutte collective continue pour amener un peu de vie et de résistance dans ce territoire en lutte.
Comme tous les deux ans, où les Bure’lesques ont lieu, ce festival remporte l’adhésion populaire. Cette année, il a eu lieu du 16 au 18 août 2024. Les retours ont été unanimes : spectacles, concerts, conférences, projections, espace enfants, restauration/boulangerie/buvette, toilettes sèches. Au top du top !
Cette fois, le terrain prêté par un agri du coin, de Saint-Amand-sur-Ornain, longeait un coin paradisiaque du bras de sa rivière ainsi que le tracé de la future voie ferrée qui restera – on l’espère – aussi belle qu’elle ne l’est : en friche ! L’étroitesse de ce dernier a marqué l’implantation du festival en le densifiant davantage que d’habitude. Une ambiance de petit village lui donnait un caractère très charmant et encore davantage familial. Comme à chaque édition, les gendarmes ont tenté de dissuader sans succès les habitant.es de venir en réalisant de nombreux contrôles autour du site de ce festival très familial. Un recours administratif est actuellement en cours porté par de nombreuses associations dont l’association Bure Zone Libre pour dénoncer cette intimidation policière.
Les habitant.es de la gare de Luméville n’ont pas attendu patiemment que la gare devienne expulsable pour se préparer à résister. La deuxième édition de la fête des barricades a eu lieu du 5 au 11 septembre 2024 et a réuni environ 150 personnes. Des discussions stratégiques ont réuni des camarades venant de luttes variées : zad contre l’A69, personnes ayant lutté à la zad de Notre-Dame-des-Landes, etc. Mais c’est surtout les chantiers pratiques qui étaient à l’honneur pendant cette fête des barricades avec notamment l’installation d’un nouveau dôme géodésique sur le terrain qui permettra d’accueillir encore plus de monde lors des futurs événements à la gare de Luméville.
Le jeudi 10 octobre 2024, la super compagnie de théâtre La Scélérate nous a fait l’honneur de jouer son spectacle « Alice au Pays » dans la grange de la maison. La compagnie nous avait contactés car on se trouvait un peu sur leur chemin de tournée et davantage encore sur leur route politique. Pour une soirée tamisée et magique, deux comédiennes nous ont fait rêver avec un mélange de théâtre d’ombre et de marionnette a tige. Le spectacle évoluait sur une sorte de castelet constitué d’un tissu blanc pour la partie haute et d’une petite avant-scène multifonction pour la partie basse. Deux long tissus noirs encadraient le tout. Si cette petite construction ingénieuse était le principal écran des diverses sources de projection, c’est bien tout la grange ; sa charpente, ses murs en pierre, le bois et divers matériaux stockés,etc qui tour à tour servait d’arrière décor.
Une cinquantaine de personnes était là en mode emmitouflée, un peu compacte sur les fauteuils de la maison et les bancs de la compagnie pour conjurer le froid meusien qui s’immiscait déjà. Avant et après le spectacle d’autres artistes de la compagnie ont enrichi la soirée par un petit show musical et un concert. Bref, merci à tout.es celles qui passent par la maison mais un grand merci a eux c’était super !
Construction d’un chapiteau pendant le chantier Matmouth !
Connaissez-vous la Matmouth ? Il s’agit d’une mutuelle de matériel basée dans le Grand Est. Il existe plusieurs mutuelles de la sorte dans toute la France et celles-ci prêtent du matériel d’événement à prix libre. La Matmouth a pour objectif de faciliter l’accès à du matériel, des savoirs et savoirs-faire dans le cadre d’activités militantes et collectives afin de renforcer l’autonomie d’un réseau de soutiens aux luttes. Du 30 octobre au 14 novembre 2024, une trentaine de personnes se sont activées dans la maison de résistance pour entretenir le matériel de la Matmouth : réparation de barnums, de guirlandes, amélioration des rangements, etc.
Mais le clou du chantier était la construction d’un chapiteau de 50 m² ! Pour cela, on a cousu plusieurs km de fil pendant 2 semaines sur plus de 4 machines-à-coudre différentes qui ont fonctionné en parallèle. Ce chapiteau sera utilisé cet été entre autres au camp de la Hague et au camp de septembre à la gare de Luméville.
Le 7 novembre 2004, notre camarade et compagnon de lutte Sébastien Briat était tué lors d’une action visant à tenter de bloquer un convoi de déchets nucléaires parti de la Hague en direction du centre de stockage allemand de Gorleben. Cette action s’inscrivait dans une série de blocages des transports « Castor », portés par des militant.es en france et en Allemagne, pour dénoncer le nucléaire et son industrie, des deux côtés de la frontière.
De belles initiatives ont fleuri ce jeudi 7 novembre 2024 en souvenir de notre camarade. Alors que des rassemblements commémoratifs étaient organisés à plusieurs endroit comme Bar-le-Duc, Hitzacker, Lüneburg, et Karlsruhe, un mur massif de 25m² composé d’environ 6 tonnes de parpaings, de ciment et d’acier a été érigé à Baudignécourt, puis décoré d’une fresque à la mémoire de Sébastien. Il se situe sur l’ancienne voie de chemin de fer entre Ligny à Gondrecourt sous un pont enjambant l’ancien chemin de fer désaffecté sur lequel lorgne l’Andra pour acheminer ses matériaux et ses déchets toxiques. Vingt ans plus tard, cet évènement tragique de la lutte antinucléaire nous fait toujours écho.
E n décembre 2024, on a construit la surchauff’ lors d’un chantier collectif réunissant une quarantaine de personnes sur 10 jours. La surchauff’, comme son nom l’indique, est située au dessus de la chauffumerie et profite de la chaleur diffusée par le poêle et le ballon d’eau chaude. Elle est isolée et on a déjà fait des réunions dedans à plus de 40 personnes ! Autant dire que cette pièce sera très utile. En parallèle du chantier de construction de la surchauff’, on a aussi rangé l’atelier et réparé les outils électroportatifs en rades. Visseuses, ponceuses, etc. Une petite équipe a également construit trois beaux lits-mezzanines pour augmenter les capacités d’accueil du sleeping. Sleeping qui a été entièrement peint à la suite de ce chantier pour le rendre encore plus joli et accueillant !
La cuisine de la maison de résistance a besoin d’un gros coup de jeune ! Au programme du chantier prévu du 10 au 20 juin 2025, changement des éviers et changement de toute la disposition de la cuisine pour la rendre plus pratique à la fois pour la vie quotidienne et les grands événements. On aimerait aussi installer un four professionnel qui sera utilisable y compris pour les événements avec beaucoup de monde.
On vous en parlait dans la lettre d’infos de l’été 2024, les toits de la zone sont endommagés et demandent des réparations. Ces réparations prennent beaucoup de temps et coûtent de l’argent ce qui fait qu’on les étale sur plusieurs années.
Cette année encore, des chantiers de rénovation de toiture dont une partie avait été faite l’année passée auront lieu à l’Affranchie et à l’Augustine.
Grâce à la motivation de nos copaines charpantier.es et couvreur.euses, on espère pouvoir attaquer la rénovation du toit de la Maison de Résistance en 2026 car on déplore des fuites quand il pleut fort !
Entre les différents toits de la zone, c’est quasiment 2000m² de toiture à rénover. On a donc prévu 5 chantiers pour refaire à neuf le toit de l’Augustine, 6 chantiers pour celui de l’Affranchie et ceux de BZL et la Poule demanderont également beaucoup d’efforts ! Autant dire que l’on cherche activement des couvreurs ou couvreuses pour donner des coups de main à la lutte antinucléaire !
Du 20 au 24 février 2025, ont eu lieu les Bestiales : 5 jours de rencontres antispécistes et anti-autoritaires. Plus de 200 personnes sont venues pour cette deuxième édition (la première avait eu lieu deux ans auparavant, en février 2023 à la gare de Luméville). Au fil du programme pensé par les organisateur.ices, mais aussi d’ateliers auto-gérés proposés par les militant.es sur place, on a pu avoir des échanges politiques sur des questions variées liées à la libération animale. Les questions d’antispécismes et de véganismes en elles-mêmes ont été abordées et questionnées, sans oublier les liens et interconnexions avec d’autres luttes et systèmes d’oppressions : comment les animaux sont également affectés profondément par l’industrie du nucléaire, les liens entre exploitation animale et d’autres systèmes d’oppression tels que le patriarcat, le validisme, le racisme/colonialisme, etc.
Cinq jours riches en débats politiques, apprentissages pratiques (comment prendre soin des animaux avec lesquels on vit, comment cuisiner des trucs délicieux sans recourir aux produits issus de l’exploitation animale…), entrecoupés de concerts et spectacles en tout genre.
Bure a déjà connu des vagues de répression très intenses. On se rappelle tous et toutes du procès pour association de malfaiteurs de 2019 et des nombreuses vagues de perquisition. La plus importante perquisition concernait 14 lieux en simultané le 20 juin 2018. Au final de cette procédure délirante avec ses dizaines de milliers de pages et ses milliers d’heures d’écoute, quasiment rien ne reste dans l’accusation. En effet les chefs d’accusation se sont considérablement dégonflés et la mauvaise farce de cette instruction hors norme continue encore : le 24 avril aura lieu le second appel à Nancy dans ce procès après un premier passage en cassation !
Nous seron s là en soutien à ces personnes injustement accusées et maltraitées par la justice ces 6 dernières années.
Face à cette répression toujours latente, nous avons choisi de continuer à renforcer nos liens et connaissances en organisant un week-end anti-répression les 21-23 mars 2025 qui a réuni une cinquantaine de personnes. Du vendredi au dimanche, la maison de résistances a vibré au fil des témoignages de personnes impliquées dans ces procès fleuves mais aussi de nombreuses formations pour apprendre à se défendre face à la répression de la police et de la justice.
Le projet CIGEO d’enfouissement de déchets nucléaire avance à grands pas depuis début 2025. Plus de 300 propriétaires sont concerné.es par une procédure d’expropriation commencée en janvier 2025. De nombreuses personnes ont accepté sous la pression des procédures à l’amiable (sic) avec l’ANDRA. Mais quelques propriétaires refusent de céder face au rouleau compresseur de l’ANDRA et vont devant la justice pour se défendre. Parmi les terrains qui résistent se trouve la Gare de Luméville.
On vous parle souvent de la Gare car c’est un terrain qui a abrité un grand nombre d’événements ces derniers temps. Parmi les plus connus, on peut citer le camp VMC, les Rayonnantes, mais il y a eu aussi les bestiales, les semaines anticarcérales, les chorales, les fêtes des barricades, les formations médics, les divers chantiers de construction, etc. Autant dire qu’on ne compte pas abandonner ce terrain sans lutter, juridiquement et physiquement.
C’est dans la continuité de toutes ces énergies qui se sont mobilisées là-bas qu’on prévoit un camp en septembre à la Gare malgré le processus d’expropriation en cours. A l’heure de l’écriture de ces lignes, on ne sait pas à partir de quelle date la gare sera expropriée. Un calendrier juridique communiqué par la juge nous indique que le transfert de propriété pourrait avoir lieu en juin 2025 et donc que la gare pourrait être expulsable dès juillet 2025 après le délai légal d’un mois. Mais tout cela est très hypothétique au vue de la procédure juridique extrêmement complexe que mobilise l’ANDRA pour exproprier les habitant.es du territoire. Car ne nous leurrons pas, c’est bien l’ensemble du territoire que l’ANDRA souhaite désertifier afin de pouvoir enterrer tranquillement ses déchets nucléaires.
Après 5 années de maraîchage, les semeuses ont décidé collectivement de mettre fin à leur collectif. Ces années ont permis de renforcer l’autonomie de la zone : la production des semeuses était considérable. En distribuant 50 paniers de légumes par semaine à Nancy et en tenant plusieurs marchés, les semeuses partageaient également de la documentation antinucléaire dans tout le Grand Est ! Un grand merci à elles pour toute cette énergie et ces excellents légumes bios produits pour nous et nos événements !
Afin de continuer à développer nos moyens de subsistance, les Germeuses prennent le relais des Semeuses et prévoient de continuer à nous nourrir ! Changement de la plupart des personnes et de nom de collectif, mais le principe reste le même : continuer à nous fournir en délicieux légumes bio tout en animant des chantiers collectifs aux champs. Le marché du jeudi va reprendre le même jour , pendant l’ouverture du bois-le-jus, le bar restaurant de l’augustine, à Mandres-en-Barrois. Ce petit marché local de légumes continuera d’approvisionner les nombreux lieux collectif, semi-collectifs et privés des copaines mais aussi des nombreux et nombreuses habitant.es du coin
L’année dernière la maison de résistance fêtait ses 20 ans. On avait pas eu l’énergie de faire une grande fête pour célébrer les 20 ans de résistance antinucléaire que cette maison a abrité.
Cette année, on vous propose de se rattraper en organisant un anniversaire mémorable pour les 20+1 années de la maison de résistance ! On prévoit des concerts, programmes et des témoignages d’ancien.nes habitant.es de la maison.
Le dimanche après-midi, on présentera également les bilans d’activité et financier de l’association lors de l’AG annuelle. Vous êtes tous et toutes invité.es à venir participer à cette Assemblée Générale. A bientôt et rendez vous sur bureburebure.info pour vous tenir au courant sur le programme de ces deux jours à ne pas manquer !
Nous serons nombreux et nombreuses à aller à la Hague les 18-19-20 juillet 2025 pour dénoncer la construction de nouvelles piscines de stockage de déchets nucléaires.
Le collectif piscine nucléaire stop nous invite à 3 jours de rencontres, discussions, actions, sur la question des déchets nucléaires et des territoires. Trois jours pour se réunir, partager nos peurs, nos colères, nos joies. Donner à nos luttes le goût de la solidarité et du collectif.
Trois jours pour apprendre et s’outiller sur les questions nucléaires, chanter, découvrir la Hague : du chemin des douanier·es aux installations nucléaires. Trois jours pour se raconter comment on s’organise, pour donner envie de rester ou de revenir ? Aussi faire la fête, inventer des affiches, regarder des films. Trois jours pour que divers collectifs et associations se rejoignent, partagent leurs histoires et combats. Se plonger dans les mémoires des luttes passées, présentes et imaginer les futures.
« Nous agitons nos têtes, nos corps & nos cœurs pour que ces trois jours soient festifs, créatifs et offensifs, mêlant le sensible et le politique, l’intime et le collectif…
Alors à bientôt à la Hague on espère ! «

Objectif : un camp d’un mois à la gare de Luméville ! Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas proposé de rencontre sur une aussi longue période. L’objectif du camp est annoncé dès le titre : Septembre infini. Inviter le plus de personnes possibles à rester, ou revenir à la Gare pour la défendre, construire une résistance et des imaginaires anti-nucléaires. Que ce mois de septembre serve de fondation a une dynamique plus pérenne d’occupation de ce lieu magique, acheté par des militant.es antinucléaires en 2007 pour mettre des bâtons dans les roues de l’ANDRA qui convoite ces terres pour construire la voie ferrée. Ce qui leur permettrait, à terme, d’acheminer les déchets radioactifs jusqu’à CIGEO.
Un mois pour aménager les espaces et renforcer nos structures collectives ; entre chantiers, ateliers pratiques et d iscussions sur des thématiques variées : anti-nucléaire bien sûr, fonctionnement de l’auto-gestion, soin collectif. Et également des réflexions sur les oppressions systémiques, tant dans leurs croisements avec l’industrie mortifère du nucléaire que dans les dynamiques patriarcales, coloniales et validistes qui subsistent, malgré nos efforts, dans nos espaces de lutte.
Un mois de septembre qui, on l’espère, durera bien plus que 30 jours, jusqu’à l’arrêt total du projet CIGEO, de l’industrie nucléaire et même, qui sait, du capitalisme !
Toujours plus d’événements à la gare de Luméville !
La gare de Luméville fourmille d’activités. Après un chantier cabanon qui a permis d’inaugurer deux nouvelles cabanes collectives sur le terrain en mars 2025, trois événements auront lieu en mai et en juin 2025 :
– Les rencontres de chants du 19 au 23 mai 2025. Cinq jours pour apprendre, transmettre des chants et surtout prendre du plaisir en chantant ensemble autour d’un beau feu sous le magnifique ciel étoilé de la Meuse.
– Une semaine de mécanique vélo à la gare de Luméville. L’objectif ambitieux est de réparer plusieurs dizaines de vélos, de construire une remorque pour vélo et de transmettre des compétences de réparation dans une bonne ambiance garantie.
– La cinquième édition de la semaine médic à la gare de Luméville du 23 au 29 juin 2025. Depuis la première semaine médic en 2021, de nombreux et nombreuses médics venant de toute la france ont participé à des formations à Bure. C’est l’occasion de diffuser les compétences tellement nécessaires de médics en manifestation, en ville ou ailleurs.
Au-delà de nos positions antinucléaires évidentes, on a très rarement ici développé sur les événements et situations politiques moins directement reliées à cette lutte. Au vu du contexte politique actuel, à l’échelle nationale comme internationale, on avait quand même envie de mettre un petit mot à ce sujet. En France, on assiste aujourd’hui à une forte montée des idées réactionnaires et autoritaires, voire fascisantes, tant sur les plateaux télé, radio et média détenu par les milliardaires comme Bolloré que parmi les responsables politiques institutionnels. Casse des acquis sociaux, des systèmes de répartition des richesses, de l’école, de la santé ; toujours plus d’aides aux ultra-riches et plus de répressions et de surveillance pour les autres ; propagande raciste et islamophobe assumée ; transphobie et misogynie de plus en plus normalisée ; déni encore aujourd’hui de la réalité de l’histoire coloniale de la France et de ses conséquences encore bien présentes ; déni également de la crise climatique et environnementale qui appelle pourtant des transformations profondes de notre société et de nos modes d’agriculture… On pourrait écrire une lettre d’info entière sur chacun de ces sujets, et sur bien d’autre encore. On pourrait, devrait peut-être en écrire aussi sur les situations à l’international : génocide en Palestine, guerre civile au Soudan, prise de pouvoir de Trump et d’Elon Mus aux USA et ses conséquences…
Heureusement, nombreux.ses sont celleux qui se mobilisent pour lutter. Heureusement, nombreux sont déjà les médias qui relaie des information plus objectives que sous les autres médias détenus par des milliardaires aux intérêts fascisants.
C’est peut-être facile, mais à force de parler essentiellement des événements et de la vie autour de Bure, on souhaitait prendre aujourd’hui un peu position pour soutenir toutes les personnes, collectifs et mouvements qui, par leur lutte ou par leur existence même, s’opposent à ces politiques, à ces visions du monde qui écrasent nos vies, nos libertés et nos vécus.
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bureburebure.info _ stopcigeo-bure.eu _ cedra52.jimdo.com
Pour tout renseignement vous pouvez envoyer un mail à burezonelibre@riseup.net ou téléphoner au
09.54.10.57.11
Il est également toujours possible de venir à la maison de résistance le temps d’un café, d’une
journée, d’une semaine ou d’un mois… !
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25/04/2025